Hypnose thérapeutique
« Nous avons tous en nous les ressources pour vivre une bonne vie » Milton Erickson

Hypnose et approche fonctionnelle : activez vos leviers de transformation intérieures.
Une approche profondément humaine, au service de votre équilibre
Chaque personne avance avec son histoire, ses forces, ses blessures… et parfois des blocages profonds. Mon rôle n’est pas de vous dire où aller, mais de vous aider à retrouver vos repères intérieurs avec respect, écoute et justesse.
Mon approche est le fruit d’un long parcours personnel et professionnel, fondé sur une conviction : on n’accompagne pas un symptôme, mais un être dans toute sa complexité. Corps, mental, émotions, inconscient… tout est lié.
J’utilise l’hypnose thérapeutique pour dialoguer avec les parts de vous qui freinent ou répètent, et les apaiser. Je l’associe à la naturopathie fonctionnelle, à la régulation du système nerveux pour soutenir l’équilibre global (digestion, énergie, sommeil, vitalité…).
Vous n’êtes pas un diagnostic. Vous êtes une personne unique, et votre accompagnement l’est aussi.



Domaine d’applications
de l’enfant à l’adulte :
– Gestion des émotions (stress, anxiété, angoisse)
– Confiance et estime de soi,
– Dépression légère à modérée,
– Traumatismes (stress post-traumatique),
– Gestion du poids,
– Arrêt du tabac,
– Douleurs physiques et émotionnelles..
L’hypnose en action : quand le cerveau rentre en mode réorganisation.
Imaginez que votre cerveau soit comme une grande ville : des quartiers spécialisés (pensée, mémoire, émotions…), des routes pour les relier (les connexions neuronales), et un centre de commande qui régule tout ça (le cortex préfrontal). Lors d’un état hypnotique, cette “ville cérébrale” ne s’endort pas… elle réorganise ses priorités !
– Réseaux cérébraux : un remaniement stratégique
Sous hypnose, les réseaux impliqués dans l’attention, la conscience de soi et la régulation émotionnelle se modulent. Le cortex préfrontal (le “PDG” de notre cerveau, responsable du contrôle, de l’analyse et de la planification) ralentit légèrement son activité. Cela permet à d’autres zones de prendre le relais, notamment celles liées à l’imagerie mentale, à l’intuition et aux émotions profondes comme l’amygdale et l’insula.
Résultat : on pense moins avec “la tête rationnelle” et plus avec “l’intelligence émotionnelle et symbolique”. Cela ouvre l’accès à des ressources inconscientes souvent bloquées par le mental.
– Connectivité cérébrale : de nouveaux circuits se créent
Les connexions neuronales se réorganisent : certaines se renforcent, d’autres s’atténuent. Des régions du cerveau qui ne communiquent pas habituellement ensemble commencent à échanger. Ce phénomène de neuroplasticité permet de créer de nouveaux circuits, facilitant l’intégration de changements profonds : nouvelles façons de penser, de réagir, de ressentir.
– Ondes cérébrales : un changement de fréquence
En hypnose, votre cerveau change de fréquence, un peu comme on passerait d’une radio “info” stressante à une playlist de fond apaisante :
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Les ondes alpha (8–12 Hz), associées à la détente et à l’ouverture imaginative, deviennent dominantes.
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Les ondes bêta, liées à l’hypervigilance et au raisonnement actif, diminuent.
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Parfois même, des ondes thêta (plus lentes encore, entre 4–8 Hz), caractéristiques des états méditatifs profonds ou du rêve, apparaissent.
Ce « réglage » cérébral permet d’accéder à un état modifié de conscience, où la porte entre le conscient et l’inconscient s’entrouvre. Dans cet espace, les changements peuvent être suggérés, intégrés, ressentis… de manière douce et durable.
Sous hypnose, le cerveau ne dort pas : il se reconfigure intelligemment pour vous aider à changer, à guérir ou à retrouver un meilleur équilibre intérieur. Grâce aux découvertes en neurosciences et à l’imagerie cérébrale (IRM fonctionnelle, EEG), on sait aujourd’hui que l’hypnose n’est pas un simple état de relaxation, mais une activation ciblée du potentiel cérébral.
Changer un schéma, apaiser une émotion, retrouver votre élan… L’hypnose agit là où les mots n’y suffisent plus. Et si vous faisiez aujourd’hui le premier pas vers ce changement ?