Foire aux Questions

La grande majorité des personnes sont réceptives à l’hypnose. Il ne s’agit pas d’un état de sommeil, mais d’un état de conscience modifiée, comme lorsqu’on est « dans la lune ». Comparable à une conduit en mode automatique, ou encore une lecture passionnante.

Non. Vous gardez toujours le contrôple. Le praticien vous guide, mais c’est vous qui décidez. Contrairement à l’hypnose de spectacle, l’hypnose thérapeutique respecte totalement votre volonté et votre ryhtme.

Cela dépend de votre objectif. L’hypnose est souvent plus rapide que d’autres thérapies. Il faut cependant compter un minium de 6 séances pour installer de nouvelles bases psycho émotionnelles solides, avant d’atteindre la phase de thérapeutique.

L’hypnose n’est pas remboursé par la sécurité sociale, mais certaines mutuelles peuvent prendre en charge tout ou partie des séances.

Oui, de nombreuses études ont prouvé l’éfficatité des mouvements oculaires, notamment dans le traitement du stress post traumatique (PTSD) et dans l’approche intégrative.

Il est possible que certaines émotiuons soient ravivées pendant la séance, mais le processus est encadré et sécurisé. Le but est d’alléger progressivement la charge émotionnelle.

Non. L’hypnose et les thérapies par mouvement oculaires ne nécessitent pas d’ordonnance.

Oui. Cependant selon les cas il est possible d’accompagner avec prudence avec un avis médical préalable, surtout si des émotions fortes peuvent émerger.

Dans les cas suivants aucun accompagnement n’est envisageable :

• Troubles psychotiques non stabilisés (schizophrénie, paranoïa, bipolarité, dépression sévère…)
• Epilepsie non contrôlées (surtout mouvements oculaires)
• Diabète
• Problème cardiovasculaire (hypertension, antécédents de crises cardiaques)
• Femme enceinte ou suceptible de l’être.

Oui. Ces approches sont souvent complémentaires et peuvent être utilisées dans une même séance, selon l’expertise du praticien.

Assurez-vous qu’il ou elle soit formé(e) dans une école reconnue, qu’il y ait un cadre éthique clair (secret professionnel, bienveillance) et que vous vous sentiez en confiance.

L’hypnose et les techniques de mouvements oculaires sont des approches complémentaires, souvent intégrées à des suivis médicaux ou psychothérapeutiques. Elles ne remplacent pas un diagnostic médical, mais peuvent fortement améliorer la qualité de vie ou accolpagner un traitement.

Oui. Particulièrement les mouvements oculaires, reconnue par l’OMS et la Haute Autorité de Santé (HAS) pour l’accompagnement du stress post-traumatique. L’hypnose est également validée dans plusieurs indications (douleur, anxiété, troubles fonctionnels).

Non. Ces approches ne remplacent jamais un traitement médical. Tout modification de traitement doit se faire en accord avec votre médecin.

Oui. L’hypnose comme les thérapies de mouvement oculaires engagent des processus émotionnels et neurologiques profonds. Il est fréquent de ressentir une fatigue mentale ou physique, comme après une bonne séance de sport (émotionnel).

Absolument. Beaucoup de personne ressentent un état de bien-être, de légèreté ou de soulagement, particulièrement après avoir libéré des émotions ou dépassé un blocage

Oui. Il est est même recommandé d’éviter les activités intellectuelles intenses immédiatement après une séance. Ou encore de prendre des décisions importantes. Il faut laisser le temps que d’intégration psychique se stabilise (souvent quelques heures).

Non. Il est fréquent qu’émotions, souvenirs ou rêves refassent surface temporairement. C’est le signe que votre système interne « digère » ce qui a été libéré. Cela passe généralement en 1 à 3 jours.

Oui. Cela peut faire partie du processus de libération, d’intégration émotionnelle. Le praticien vous accompagne toujours dans un cadre sécurisé, mais certaines émotions peuvent émerger ensuite, comme un écho du travail profond effectué.

Oui. Il arrive que vous ressentiez des tensions qui se relâchent (loudeur ou légèreté), des frissons ou bouffées de chaleur, une fatigue passagère, ou même des rêves inhabituels. Tout cela fait partie du processus d’intégration.

Un comportement ou une réaction émotionnelle différente face à une situation habituelle. Une prise de recul ou une nouvelle compréhension spontanée. La disparition ou la réduction notable d’un sympôtme (phobie, stress, compulsion…). Un allègement émotionnel sans toujours pouvoir l’expliquer.

Parfois, un changement est immédiat et net. Cependant l’effet se construit progressivement, sur plusieurs jours, voire semaines.

Oui. De nombreuses mutuelles françaises proposent des remboursements pour les séances d’hypnose thérapeutique, généralement dans le cadre de forfaits « médecines douces » ou « bien-être ». Les modalités varient selon les contrats et les niveaux de garantie. Voici une liste non exhaustive de mutuelles offrant ce type de prise en charge : Apivia mutelle, April santé, Apicil, SwissLife, GAN, ACPS, MGEN, Harmonie mutuelleA, Alptis, Aésio mutuelle… Cependant : 

• Vérifiez votre contrat : Les garanties varient selon les formules ; consultez les conditions générales de votre mutuelle ou contactez un conseiller pour connaître les modalités exactes.

• Demandez un devis : Avant de souscrire ou de modifier votre contrat, demandez un devis détaillé incluant les remboursements pour l’hypnose thérapeutique.

• Conservez vos factures : Elles seront nécessaires pour obtenir le remboursement de vos séances

Pas d’inquiétude. Il se peut que l’intégration se fasse de manière plus subtile ou différée. L’effet de l’hypnose ou des thérapies par mouvement oculaires n’est pas toujours instantané, mais souvent perceptible dans les jours qui suivent.

Oui. Il est aussi recommandé de prévoir un temps calme, de repos après chaque séance. Il est important de s’écouter, d’éviter les décisions importantes, les efforts physiques intenses et de boire beaucoup d’eau.

Il est rare mais possible. Cela peut traduire d’un travail émotionnel en profondeur. Contactez votre praticien pour en parler : un soutien ou une séance de stabilisation peut vous aider à intégrer en douceur ce qui a émergé.

Oui. Dans la majorité des cas, ces approches sont compatibles avec les traitements médicaux ou psychiatriques. Toutefois, certaines précautions sont nécessaires en fonction du type de médicament et de la fragilité de la personne.

Oui. Cependant ces médicaments peuvent modifier la réceptivité hypnotique, soit moins de réactivité ou des difficultés à accéder aux émotions. L’hypnose peut alors être adaptée sur des séances plus douces avec un travail progressif et lissé dans le temps.

Ce type d’accompagnement prévoit de rencontrer des personnes fragile psychologiquement. Une grande doit prudence est nécessaire.  L’encadrement doit être strict. Le praticien doit être expert, le patient stabilisé avec l’accord du médecin psychiatre. En dehors des ces conditions aucuns accompagnement ne peut être envisagé par ces types de méthodes complémentaires.

Indirectement oui. Par exemple en améliorant le sommeil ou la gestion du stress, l’hypnose peut réduire le besoin de certains médicaments, mais jamais sans validation médicale.

Non. L’hypnose ou les thérapies par mouvements oculaires ne remplacent jamais un traitement médical. Tout modification doit se faire uniquement avec l’accord du médecin prescripteur.

Oui. Il est recommendé de parler de son initiative à son médecin, surtout si vous suivez un traitement psychiatriques-, neurologique ou en cqs de pathologie chronique. Un bon praticien vous demandera de signaler tout traitement ou diagnostic médicala avant de commencer.